« Le mapping existe depuis longtemps, c’est de la vidéoprojection sur un support autre que l’écran traditionnel, cela peut être sur un bâtiment, une voiture… On utilise l’architecture du bâtiment, on crée une forme d’illusion 3D sans lunettes, c’est un espace de création très ouvert, très graphique ».
Si des compétences de graphiste et la maîtrise des logiciels sont requises pour ce « métier né avec les évolutions numériques », elles ne sont pas suffisantes. Aujourd’hui, « le mapping se doit de raconter une histoire avec un début, un milieu, une fin ; il demande des notions scénaristiques ».
Entre deux projets, l’ambition de Sylvain Legros porte sur l’interactivité. « Le côté interactif presse un peu, actuellement le mapping est encore trop unilatéral. On peut proposer plusieurs scénarios, plusieurs fins, pour que le public puisse choisir avec son smartphone, qu’il interagisse. Nous travaillons dessus pour ajouter cette touche d’interactivité qui transformera le mapping. » Rendez-vous est pris pour fin 2017 !
INTÉGRALITÉ DE L’INTERVIEW À DÉCOUVRIR EN VIDÉO…