Dans la ville qui a donné naissance à de grands groupes comme les Beatles, ce nouveau musée interactif a transformé le Cunard Building où il met en valeur l’histoire musicale britannique par le biais de costumes, d’instruments, de représentations et d’objets d’époque. La technologie de Digital Projection complète les collections en créant une expérience entièrement immersive.
Salué par la critique, le musée fait voyager les visiteurs dans l’histoire de la musique britannique de 1945 à nos jours, sous la forme de huit galeries interactives de pointe. Au cœur de l’espace d’exposition, une scène centrale diffuse une représentation holographique de cinq minutes avec Boy George – créée spécialement pour le musée par Graham English and Co. – utilisant le projecteur HIGHlite Laser II et un serveur média Nano-SDI Delta fourni par 7thSense.
Le projecteur HIGHlite Laser II a été conçu pour les environnements qui nécessitent une solution de projection durable, flexible et lumineuse, pour un coût total exceptionnellement bas. Capable de projeter à 13 000 lumens à l’aide d’un laser (solid state) qui élimine le besoin d’un entretien coûteux et du remplacement des ampoules, il peut offrir jusqu’à 20 000 heures d’illumination, bien plus que n’importe quel produit à base d’ampoules traditionnelles.
L’équipe de Digital Projection a travaillé en collaboration avec Josh Miller, de DJ Willrich, sur ce projet. Ce dernier confirme : « Le HIGHlite Laser II était le candidat idéal pour ce type d’installation. En combinant une source de lumière d’une puissance et d’une longévité exceptionnelles avec une foule d’autres caractéristiques de pointe – fusion des bords, images grand format multiprojecteurs, logiciel de contrôle permettant l’utilisation de plusieurs projecteurs depuis un seul ordinateur – on obtient une solution incroyable pour un musée comme celui-ci, où la fluidité de l’expérience est essentielle. »
Le HIGHlite Laser II peut fonctionner en mode portrait ou paysage, et sa sélection d’objectifs (fixe ou zoom, fonctions de décalage…) offre aux intégrateurs une flexibilité maximale pour le placement des projecteurs. Le projecteur a été créé suivant la philosophie « installer et oublier » : un logiciel facile d’utilisation réduit le délai d’installation et de configuration, et ne nécessite qu’un entretien limité pendant toute la durée de vie du produit.
« En plus d’un niveau de qualité impeccable, nous savons que la fiabilité et la performance à long terme sont essentielles pour une utilisation professionnelle, ajoute Mark Wadsworth, de Digital Projection. C’est pourquoi nous offrons avec nos projecteurs une garantie de cinq ans ou 20 000 heures de projection : nous avons confiance en nos propres produits ! »
La projection, point d’orgue du musée
En plus du HIGHlite Laser II, deux projecteurs E-Vision Laser 8500, d’une puissance de 8 500 lumens et également créés par Digital Projection, sont déployés dans le hall d’accueil où ils marquent les visiteurs dès l’entrée en affichant un drapeau britannique géant.
De plus, huit projecteurs E-Vision Laser 6500, d’une puissance de 6 000 lumens, projettent des images de différentes stars de la pop britannique à l’aide du logiciel Dataton Watchpax 2, dans une série de baies vitrées séparant les différentes zones d’exposition.
L’intégrateur DJ Willrich a été choisi pour la mise à niveau de la British Music Experience en termes de technologie et de contenu, à la suite du déménagement du musée, qui a quitté le centre O2 à Londres pour s’installer à Liverpool.
Josh Miller, directeur de DJ Willrich, explique : « La technologie de projection que nous avons utilisée pour la BME à Londres avait quelque peu vieilli depuis son installation en 2009, et nous voulions que les images de Boy George projetées sur l’écran HoloNet soient brillantes et saisissantes : les visiteurs s’approchent de très près de la scène, qui doit donc être exceptionnelle quels que soient l’angle et la distance. Le HIGHlite Laser II de Digital Projection était manifestement le meilleur choix pour atteindre ce but. »
Olly Taylor, responsable technique de la British Music Experience, conclut : « Quand on pense musique, on pense inclusion, c’est très important pour nous. Nous voulons non seulement que le public vienne, mais également qu’il revienne ! ».
* Article paru pour la première fois dans Sonovision #9. Abonnez-vous au magazine Sonovision (1 an • 4 numéros + 1 hors-série) pour accéder, dès leur sortie, à nos articles dans leur intégralité.