« Je remercie l’organisation du festival de m’avoir proposé ce challenge parce que c’est tout de même beaucoup de travail 200 films à voir ! Mais c’est une récompense aussi, étant donné le niveau qu’atteint aujourd’hui la production corporate, avec des films qui ont des objectifs extrêmement différents et qui concernent une grande diversité d’industries, de services, de secteurs. On découvre énormément de créations. C’est absolument passionnant ! Si l’on ajoute à cela, la dimension digitale, avec la VR par exemple, on s’aperçoit qu’il y a encore du potentiel, même si le niveau général des films est bluffant ! »
Robin Leproux évoque ensuite quelques tendances qui se dégagent sur les quelque 200 films présentés en compétition… « On fait de plus en plus appel à des réalisateurs qui ont une patte pour que les films aient un supplément d’âme éditoriale. Il y a maintenant beaucoup de talents et d’écriture, de mise en scène. Il y a peut-être aussi une tendance avec tout ce que la technologie permet aujourd’hui : on va trouver des habillages ; des productions utilisent davantage d’images de synthèse, de l’animation… ».
L’organisation du festival demande au jury de récompenser une dizaine de catégories. « À l’intérieur des catégories, si le niveau général de chaque film a sa force et son intérêt, nous nous sommes aperçus dans les délibérations que certains films se détachent assez naturellement. Il y a toujours trois ou quatre films dans chaque catégorie qui se démarquent, parce que le réalisateur a eu la grâce à ce moment-là ou que le producteur a une vision du film assez puissante et convaincante. C’est à la fin assez évident… ».
À la fin de son interview vidéo, Robin Leproux explique pourquoi Films & Companies est un rendez-vous important, pour lui et pour le film corporate…
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