La chanteuse malienne Rokia Traoré sera la marraine de l’événement qui se déroulera du 20 janvier au 2 février et donnera un concert au siège de l’Unesco à Paris pour la soirée d’ouverture, qui sera retransmis sur la chaîne Mezzo dans 80 pays. L’artiste réagit : “Au-delà de l’importance du sonore dans l’expression musicale, je reste également consciente que notre bien-être, notre santé dépend aussi d’un environnement sonore équilibré, maîtrisé, source d’épanouissement. Nous évoquerons d’ailleurs cette année un sujet auquel je suis très sensible : la pollution sonore comme cause potentielle de ségrégation raciale.”
Au programme : conférences, escape game sonore, l’éducation au son par les ateliers Canopé, Forum des formations supérieures aux métiers du son à la Fémis le 22 janvier, expositions et remise des prix du concours international “Quand le son crée l’image” organisé par la société Audiopole, la CST, les Instituts Français et Radio Campus et l’Union des Compositeurs de Musique de Films. Les postulants devaient en effet réaliser un film d’1’44 à partir de la même source sonore réalisé par Jorge Arriagada.
Tous ces événements et sujets trouveront divers échos ou prolongements en région, en Suisse et en Belgique puis dans les autres Etats membres selon chaque spécificité des pays.
La Charte de la Semaine du Son présentée à l’UNESCO en 2016 a pour but de définir une base commune pour organiser la Semaine du Son dans chaque pays partout dans le monde. Elle détermine les objectifs fixés et indique les bonnes pratiques à mettre en oeuvre.
Retrouvez toute la programmation détaillées des divers événements ici…